LIVRE OU FILM DU MOIS

 

DE CHAQUE INSTANT, Documentaire de Nicolas PHILIBERT

Chaque année, des dizaines de milliers de jeunes gens, filles et garçons, se lancent dans des études en soins infirmiers.
Entre cours théoriques, exercices pratiques et stages sur le terrain, ils devront acquérir un grand nombre de connaissances, maîtriser de nombreux gestes techniques et se préparer à endosser de lourdes responsabilités.
Ce film retrace les hauts et les bas d’un apprentissage qui va les confronter très tôt, souvent très jeunes, à la fragilité humaine, à la souffrance, aux fêlures des âmes et des corps. C’est pourquoi il nous parle de nous, de notre humanité.

 

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Un bonheur que je ne souhaite à personne

 De Samuel Le Bihan

Préface : Jean-Christophe Rufin

«Être heureux, ça s’apprend?» Laura, jeune mère de deux garçons dont un autiste, se pose cette question le jour où elle comprend qu’elle est en train de passer à côté de sa vie. Forte de son amour inépuisable et de sa détermination face au handicap de son fils, elle a très vite choisi de ne pas subir mais d’agir.
Seule contre tous, elle va loin, jusqu’à basculer dans l’illégalité pour obtenir de menues victoires. Mais ne s’oublie-t-elle pas trop dans cet éprouvant combat qu’elle mène au quotidien? Où retrouver ce bonheur qui paraît s’être envolé? Alors que le fragile édifice qu’elle a construit menace de s’effondrer, une rencontre inattendue s’offre comme une chance de sauver les siens. Saura-t-elle la saisir?
Un bonheur que je ne souhaite à personne, véritable hymne au sexe dit «faible», fait apparaître avec une grande sensibilité combien l’adversité et une maternité à part peuvent transcender une femme.

Dans ce livre, Samuel Le Bihan raconte le désarroi d’une femme qui découvre que son fils est autiste et qui va tout faire pour lui éviter d’intégrer une structure psychiatrique en développant des méthodes alternatives. Une douleur, une angoisse et un engagement qu’il a lui-même vécus lorsqu’il a appris que sa fille était atteinte, mais qu’il a souhaité évoquer à travers le prisme du roman…(Le Point).

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